Certains se recroquevillent pour disparaître « oh par pitié! » dans le ventre de leur 𝓂è𝓇𝑒.
Je me suis arraché les 𝓎𝑒𝓊𝓍 pour ne plus vous voir.
Certains se bouchent ardemment les 𝑜𝓇𝑒𝒾𝓁𝓁𝑒𝓈 et plongent dans la surdité des profondeurs aquatiques, vers le sombre et l’imprudence.
Je me suis percé les 𝓉𝓎𝓂𝓅𝒶𝓃𝓈 au couteau pour ne plus vous entendre.
Certains se brisent les poignets contre les 𝓂𝒾𝓇𝑜𝒾𝓇𝓈 hantés. J’ai décoré mes mains de mes blessures en de jolies fleurs renaissantes.
Aujourd’hui je suis heureuse de ce sarcophage qui me 𝓅𝓇𝑜𝓉è𝑔𝑒 des bruits stridents qui ont fait saigner mon âme.
Mon cœur en 𝓅𝓁𝑒𝓊𝓇𝑒 encore aujourd’hui et mon estomac tranché me fait souffrir. J’ai un trou de vide que vous avez creusé à vif.
Je marche brisée, cassée en deux en feintant la 𝑔𝓇𝒶𝓃𝒹𝑒𝓊𝓇.
Mais il paraît que la douleur a 𝓆𝓊𝑒𝓁𝓆𝓊𝑒 𝒸𝒽𝑜𝓈𝑒 de beau. La beauté de l’âme meurtrie. Parce qu’une âme qui ère seule dans son propre vide chante. Elle 𝒸𝒽𝒶𝓃𝓉𝑒 parce que c’est beau d’entendre son écho chanter pour elle.
𝐸𝓁𝓁𝑒 𝓈𝑜𝓊𝓇𝒾𝓉.